19 janv. 2012

[Littérature] Une histoire de conte de fées...

Samedi, je vous parlais de la série "Once Upon a Time" qui raconte comment les personnages de contes de fées se retrouvent à vivre dans le monde réel, en ignorant leur véritable identité, à cause d'une malédiction. 

Lorsque j'ai parlé de cette série à un ami, il m'a dit "Je connais cette série, ils ont piqué l'idée d'un comics !". Je lui ai demandé de m'en dire plus et je lui ai proposé de me rédiger quelques lignes à ce sujet. Seulement, Atoms (c'est le pseudo qu'il s'est choisi), ne s'est pas contenté de quelques lignes, il m'a écrit plutôt quelques paragraphes ! Je me suis dit que ça méritait bien un article à lui tout seul, je vous propose donc de lire la chronique d'Atoms (et de lui souhaiter la bienvenue sur le blog au passage) sur le comics :

Fables


Dans une petite bourgade des Etats-Unis vit une communauté bien étrange « cachée » des humains. On y rencontre des fables bien vivantes qui mènent une vie moderne tant bien que mal.

Dans ce comic book… Quoi il y a un souci ? Ce scénario vous rappelle quelque chose ? Effectivement le pitch de la série "Once upon a time" n’est pas si original et à créé un débat voire une guerre des fans du comic contre la chaine ABC. (Pour la petite histoire, le créateur du comics à lui-même du calmer les choses en s’exprimant sur Once Upon A Time pour préciser que la série ne lui avait pas volé son histoire)

Fables, puisque c’est cette série que je vais aborder ici, parle de Fabletown dirigé par le Maire King Cole lui-même assisté de Blanche Neige et Bigby Wolf (le fameux méchant loup) afin de maintenir la cohésion entre tous ses administrés, eux-même des fables de divers contes bien connu du vieux monde

Pourquoi sont-ils arrivés sur terre ? Depuis combien de temps ? Quel est leur but ? Bill Willingham, le génial scénariste, réussit à transformer ce pitch déjà bien intriguant en histoire palpitante portée par le background épique des personnages qu’il utilise. Willingham s’amuse avec ces histoires que l’on a tous entendu des centaines de fois et apporte une lumière moderne, de circonstances, sur l’après « et ils vécurent heureux…. ».



Le scénariste est secondé par un dessinateur talentueux : Mark Buckingham. Son style rond, doux avec un je-ne-sais-rien de lignes claires convient parfaitement pour croquer les personnages mythiques. Ce dernier se fait même plaisir sur chaque page en ajoutant des panneaux, inspiré des enluminures, entourant la planche.
Le tableau ne serait pas complet si l’on ne parlait pas de James Jean, le cover artist de la série, qui a acquis une jolie renommée grâce à son travail sur ce titre.



Vous l’aurez compris si vous avez apprécié le pitch de Once upon a time et désirez vous plonger dans une histoire plus complexe et sans limite d’effets spéciaux lisez Fables, un comic books issus de la ligne Vertigo de DC comics qui a déjà fait mainte fois ses preuves en terme de graphic novels aux scénarios matures.

Merci à Atoms pour sa chronique rédigée d'une main de maître :)

2 petits nuages:

unicks a dit…

ça pourrait plaire au géant ça. moi je ne suis pas très comcis, je préfère les bouquins. et je regarderai la série une fois que j'aurai tous les épisodes :-)

Tara a dit…

unicks : j'aime bien les comics, beaucoup même mais ça me frustre que ce soit aussi cher. Genre Freaks squeele, c'est 15 euros le tome, ça me dure une heure. Un livre à 15 euros, il me dure en général quelques jours à quelques semaines. Psychologiquement du coup, ça passe moins ^^

 
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