28 août 2012 0 petits nuages

Le cas du mail à son ancien travail


Quand on envoie un mail à son ancien travail, il ne faut pas croire qu’il ne s’agit que d’un envoi de quelques mots. En vérité, c’est tout un combat qui se joue, un peu comme dans une réunion d’anciens élèves. L’objectif principal de ma stratégie d’envoi de mails : paraitre à son avantage sans en faire trop, et pourquoi pas faire passer subtilement quelques messages revanchards au passage.


-          Mais oui, tout va bien

Genre, quand tu écris à ton ancien travail, aux collègues que tu avais en connaissance, t’as pas envie de la jouer « tout va mal, je suis tellement minable ». Au contraire, t’as plutôt envie de dire « je suis plus chez vous, mais je m’en porte pas mal non plus ». Alors tu mets en avant des aspects positifs, genre « ici, tout se passe bien, j’ai un chouette appart, et des collègues sympas, que demander de plus ». Mais bon, tu veux pas en faire trop non plus, faut la jouer « je vais bien », pas « je simule très bien ».

-          D’abord, ou je suis, c’est bien / mieux

En général, on a pas envie de dire non plus qu’on a un boulot pourri. Si on est parti, c’est soit qu’on convenait pas, soit que l’entreprise ne pouvait poursuivre le contrat. Dans le premier cas, on a envie de dire « eux, ils sont contents de moi alors je suis bonne d’abord ». Dans le second, on a tout de même envie de faire comprendre « ahlala vous avez raté quelque chose, c’est moi qui vous le dit ». Alors, on met en avant certains aspects. Je me rappelle de cette ancienne responsable de stage avec qui ça ne s’était pas bien passé. Lorsque je lui avais écrit un mail dans lequel je vantais ce stage ou ça se passait super bien et même qu’on était super content de moi, elle m’avait répondu que de son côté tout allait tellement bien avec sa stagiaire actuelle, elle veut même rester 6 mois de plus. Lutte de pouvoir et de paraitre, je vous ai dit.

-          Ah, et, au fait… vous êtes à chier

Alors, là, c’est le passage valable quand ça ne s’est pas totalement bien passé dans une entreprise. Donc, si tout s’est bien passé pour vous, inutile d’ajouter cette partie, ne soyons pas mauvais esprits. Pour les autres, admettez que, responsable ou pas, on aime pas partir d’une entreprise sur une (ou plusieurs) mauvaise impression. Du coup, on fera passer le message de certains reproches de manière un peu déguisée : « oh ici, l’ambiance de travail est excellente, vous vous rendez compte, on mange tous les midis avec le patron ! » ou encore « C’est vraiment une bonne entreprise qui sait écouter les salariés, même quand il y a des conflits ». Encore une fois, faut pas trop en faire non plus, on a dit subtilité, pas règlement de comptes.

Alors bon, cette méthode particulière n’est pas valable pour ceux qui se contentent de trois lignes sans réfléchir ou qui n’ont pas cet esprit de « dernier mot » (qui a dit gamine, qui ?). Mais quand même, bref ou pas, j’avoue que je réfléchis toujours un peu à la manière dont je rédige ce genre de mails. Surtout pour le premier après avoir quitté l’entreprise, celui qui fait un peu le bilan de dernière impression, là je suis capable de pas mal réfléchir. Pas vous ? 

14 août 2012 4 petits nuages

Dors avec les loups...

Après survis à une journée parmi les zombies, je te propose de survivre à une nuit parmi les loups. Bon, ok, pas vraiment au milieu des loups mais au sein d'une meute, dans une cabane en bois (au fond du jardin, oui, ok, c'est bon...^^).

Ohhhh il a la bouille de mon chat. SI, C'EST VRAI mon chat il ressemble à un loup d'abord !

C'est une amie qui m'a parlé de ce truc qu'elle avait vu : passer la nuit dans une cabane au milieu des loups. 

Son mec étant pas très chaud, elle a pensé à moi et bien sûr, j'ai dit "oui, un jour on le fera". Parce que moi, l'idée de dormir dans une cabane en bois, en mode trappeur, parmi ces animaux, ça ne m'effraye pas. Au contraire, ça m'intrigue, ça me donne envie.

Mon amie m'a parlé du Parc Sainte-Croix à Rhodes et j'ai découvert un endroit dans lequel je me précipiterais dès ce mois-ci si j'avais les sous et surtout les gens motivés :) D'ailleurs, pour ceux qui me connaissent en vrai, sachez-le, si on doit aller ensemble pour je ne sais quelle raison du côté de Strasbourg, je vous harcèlerai pour qu'on y aille.

Le Parc Sainte-Croix est situé à côté de Strasbourg. Première chose que j'aime : il accueille 1 500 animaux en semi-liberté issus de 100 espèces différentes dont 80 espèces sauvages. Je trouve toujours ça plus sympa quand les animaux sont en semi-liberté et qu'il y a moins l'ambiance "cage" qu'on peut déplorer dans certains endroits (notamment le zoo de Lille :( ). L'entrée coûte une vingtaine d'euros et on retrouve dans le parc de nombreuses espèces animales dont de magnifiques lynxs, cerfs, et loups.

Ce qui fait donc la particularité du Parc Sainte-Croix, c'est donc les hébergements insolites qu'il propose : hébergement dans une cabane parmi les loups, parmi les cerfs, expériences avec les animaux... Pour ce qui est de l'hébergement parmi les loups, il vous faudra compter minimum 100 euros pour une nuit. Et plus 200 euros par personne en fait... mais quand même, j'en rêve !


Bon à savoir : le Parc Sainte-Croix recrutent des stagiaires sur différents secteurs toute l'année, avec éventuelle possibilité d'hébergement. Sérieux, tu vois, là, je regrette deux trucs : d'être en fin d'études et de plus être à la recherche d'un stage. Et d'avoir deux fauves chez moi qui auraient bien du mal à se passer de leur môman / fournisseuse de calins / fournisseuse de bouffe pendant plus d'un mois. Mais si toi, tu peux, postules ! Et si tu décroches un stage, t'as intérêt à négocier pour moi un week-end tous frais payés. Compris ?^^

Alors, cap ou pas cap de dormir avec les loups ?
13 août 2012 4 petits nuages

Ce jour ou j'ai découvert Oasis à la fac

Hier, lors de la cérémonie des J.O., Liam Gallagher a chanté le magnifique "Wonderwall"... et ça m'a rappelée que Oasis, c'est surtout un groupe que j'ai découvert grâce à mes études. Et Nada Surf aussi d'ailleurs.



Souvent, en fac comme au lycée ou au collège, on étudie tout un tas d’œuvres dont on ne voudra plus jamais entendre parler par la suite. On visualise aussi des vidéos, on écoute des musiques, toutes ces choses censées nous faire découvrir une culture, nous apprendre quelque chose, on les oublie très vite. Bien sûr, notre esprit s'attardera sur certaines œuvres (pour ma part : Un roi sans divertissement, 12 hommes en colère, The Great Gatsby) mais dans l'ensemble, on pourra quand même se dire que tout ça, ça ne sert pas à grand chose (je ne dis pas que c'est le cas mais à l'époque on a du être nombreux à le penser !).

Et puis, tu finis par comprendre que non, tout ça n'est pas inutile, quand tu découvres un monument de la culture britannique grâce à ton cours d'anglais. Ce monument, c'était Wonderwall de Oasis. La chanson, je la connaissais pas. Le groupe, pas davantage. Jusqu'à ce que l'assistant qui nous faisait des cours en première année de fac d'anglais nous oblige à apprendre les paroles par cœur. Et depuis, cette chanson, je la kiffe ! Et pareil, j'ai découvert l'excellent groupe Nada Surf lorsque j'ai étudié un de leurs clips en cours d'audiovisuel.

Et au final, quand j'y repense, je me dis que cet assistant d'anglais, il voulait probablement rien faire d'autre que son cours et ses heures... mais il a réussi à me transmettre quelque chose. Et ça me fait toujours un petit quelque chose d'entendre cette chanson parce qu'elle représente pas qu'une chanson justement.Elle représente un instant ou quelqu'un a réussi à m'enseigner quelque chose. Et tous ces moments ou quelqu'un a essayé de m'enseigner quelque chose. En somme, le pouvoir de la transmission et combien ça peut rendre des choses bien plus importantes.

Pour finir, je vous laisse avec un remix Oasis / Green Day de Wonderwall qui est juste EXTRA !



Et toi, t'as appris quoi de sympa à l'école ?


2 août 2012 8 petits nuages

Et si j’avais déjà été « harceleuse de rue » malgré moi ?


Le harcèlement de rue, c’est cette question qui soulève un peu le débat sur les réseaux sociaux en ce moment. Et, plus que de vous parler de ça, j’ai envie d’aborder une question que je me suis déjà posée : est-ce que, moi, je n’ai pas déjà été une « harceleuse de rue », malgré moi ?



Je t’explique la chose : j’ai de gros seins, et j’ai du très vite m’habituer à ce que ça « fasse effet »… et pas dans le bon sens. Ce qu’on appelle du « harcèlement de rue », je l’ai vécu bien sûr, dès le collège. Le mec qui te touche les seins sans rien demander, ceux qui y vont de leurs réflexions « Mmmm t’as des gros seins », bien sûr. J’ai détesté tout ça. Déjà que je ne suis pas bien avec, alors si en plus, on me fait des réflexions dessus…

Mais, sans aller jusqu’au harcèlement de rue (qui, pour moi, est inacceptable dès le moment qu’il y a insulte/insistance trop prononcée ou agression, différence entre drague lourde et harcèlement de rue), j’en ai eu souvent ma claque des mecs qui me mataient, tout simplement. De celui qui avait un regard insistant sur mes seins, qui matait bien mon décolleté pendant trois secondes ou qui se retournait simplement sur moi. Même si ce n’était pas accompagné de vulgarité ou de signe de « perversité », j’avais juste envie qu’on me foute la paix à mes seins et moi. Et à ce moment-là, j’ai pu percevoir ce genre d’actes comme du harcèlement de rue, parce qu’ils faisaient suite à des comportements bien moins sympas qui m’ont souvent fait souffrir. Parce que je ne m’aimais pas et je ne voulais pas qu’on me remarque, pour quelque raison.

Sauf que, à de nombreuses reprises, je le confesse, j’ai mâté. J’ai mâté des mecs qui passaient dans la rue, un type au cul à tomber dans le métro, un ancien collègue aux multiples avantages… J’ai mâté et si, la plupart du temps, c’était discret, ce n’était pas toujours le cas. Ou était le mal ? Je ne faisais aucune remarque, je n’étais pas en train d’avoir une attitude déplaisante, et je ne bloquais pas non plus des heures dessus hein. Je n’avais pas envie de gêner la personne, ou d’être perçue comme « agressive » ou dérangeante. Mais et si je l’avais été, au final ?

Et si ce que je considère comme « anodin », comme une simple attitude que j’ai de temps en temps et qui ne vise à faire de mal à personne dérangeait les concernés ? Est-ce qu’au final, quand je n’ai pas été discrète, ces mecs ne se sont pas dits « qu’est-ce qu’elle me mate comme ça la moche, c’est bon, vire ton regard » ou « euh et sinon, elle peut arrêter de me mâter comme ça, on peut pas être tranquille ». Bref, et si au final, j’étais perçue comme j’ai pu percevoir certains mecs dont le regard s’est arrêté un peu plus que quelques secondes sur mon corps : lourde et dérangeante.

J’avoue que je ne connais pas la réponse à ma question. Je ne sais pas ce qu’il en est du côté masculin, s’ils remarquent, si ça les dérange, si ça les flatte, si ça les indiffère… Mais je me dis que s’il m’est arrivé de mâter quelqu’un de manière pas très discrète sans vouloir lui manquer de respect, alors peut-être que parfois certains mecs qui m’ont mâté ne voulaient pas être irrespectueux. Je ne suis pas un objet qu’on peut mâter ou toucher à loisir et il  y a des choses humainement inacceptables. Et parfois il y a probablement des gens maladroits ou mal perçus. 

Si les mecs veulent bien donner leur avis, ou les mecs de mes lectrices, ou vous, tout simplement :)
25 juil. 2012 9 petits nuages

Le Simple Diary Keel’s existe aussi sous iPhone/Androïd !


Je le voulais, on me l’a offert : le fameux journal intime tendance, le Simple Diary Keel’s. Avec sa jolie couleur jaune soleil et ses nombreux détails bien pensés, je l’adore. Et surprise, j’ai appris par la même occasion que ce fameux journal existait en version iPhone / Androïd.


Le Simple Diary Keel’s

Disponible à la FNAC, ce fameux journal intime fait un succès et pour cause : pratique et ludique, il est enrichi de nombreux détails. La couverture imite le format Moleskine, les pages sont dorés sur les bords. Dès qu’on l’ouvre, on tombe sur un mini-profil, selon la couleur choisie (type de personnalité, conseils…). Le tout écrit de manière très marrante.
Sur chaque page, il y a des questions, des citations, des espaces libres… et on les remplit comme on veut, à la suite ou dans le désordre. A la fin, on retrouve un récapitulatif avec des « top 5 » : ce que je suis, ce que je ne veux plus faire… Et même une petite pochette cartonnée pour ranger des documents. Mais ça ne s’arrête pas là !

Le fameux journal disponible en application mobile

Bien sûr, je l’ai installé directement, en version gratuite. On peut choisir parmi les couleurs différentes, cette fois-ci, j’ai pris le vert citron. Et j’ai eu aussi droit à mon mini-profil !

Ensuite, pour chaque jour, il y a quatre étapes :
- Une question « Aujourd’hui était un jour… » avec trois propositions de réponses et la possibilité d’expliquer sa réponse,
- Une question plus approfondie (mais cette partie buggue, je n’ai toujours compris comment sélectionner MA réponse)
- Une question plus superficielle (style « êtes-vous en paix avec vos cheveux ? »).
- Une citation

On peut télécharger la version complète pour 0,99 dollars… mais comme j’ai déjà la version papier, je trouve que ce serait un peu inutile pour moi. Mais si vous la téléchargez, n’hésitez-pas à me donner votre ressenti pour que je l’ajoute dans l’article !

Bien sûr, la version mobile n’a pas l’élégance du carnet papier mais elle est tout de même sympa pour tester le concept. Et puis, en version light, elle est gratuite et sinon 1 dollar, c’est pas grand-chose au final, je trouve ;o)

Et vous, avez-vous succombé à la folie « Keel’s Simple Diary » ?  

23 juil. 2012 3 petits nuages

Islande : les champs de lave hantés d'Eldhraun

Ahah, avoue que tu ne savais pas qu'il y avait des champs de lave hantés en Islande... et pourtant ! Nous les avons croisés en allant vers Jokulsarlon. Les champs de lave d'Eldhraun. L'éruption la plus meurtrière d'Islande.

Champs de lave - Islande



Les champs de lave d'Eldhraun sont nés de l'éruption du Lakagigar, un alignement de 135 cratères sur 25 kilomètres, dont le plus connu est le Laki. Durant des mois, en 1783, les cratères ont craché de la lave sans discontinuer, tuant la moitié du bétail islandais, et 20% de la population islandaise, morte de faim.

Aujourd'hui, le champ de lave s'étend sur 600 kilomètres. Des vagues et des vagues de lave figée, recouverte de mousse. On s'est arrêtés là, pour se promener. L'endroit est impressionnant, on marche avec précaution, nos pieds s'enfoncent dans la mousse et laissent des traces.



Et puis, je me suis avancée seule sur la route terreuse, pendant que mon ami prenait des photos. Et peu à peu, je n'ai pas aimé l'impression qui se dégageait de ces lieux. Peut-être parce que je pensais à tous ces gens morts, à cette catastrophe dont les vestiges sont si impressionnants, à ce peuple au pays pourtant considéré comme magnifique qui a tant payé le prix de cette beauté.



A vrai dire, j'étais soulagée d'en partir. Au retour, mon ami a voulu camper là (le fou). J'ai refusé, prétextant que ce ne serait pas pratique (ce qui était vrai), que je le sentais pas trop etc. La vérité, c'est que l'endroit me faisait juste un peu peur... et en regardant une carte des lieux hantés d'Islande, ah tiens, Eldhraun figure parmi-eux. Et ça se comprend franchement !

22 juil. 2012 5 petits nuages

Sur les routes de l'Islande

Commençons enfin notre périple vers l'Islande... et plus précisément sur les routes d'Islande, qui changent largement de nos routes européennes.





5 jours de route

Le moins que l'on puisse dire, c'est que nous avons beaucoup roulé durant ces 5 jours. Sûrement plus de 800 kilomètres. Chaque jour, nous roulions plusieurs heures.

Pour moi, non-conductrice, c'était au final agréable toute cette route. Ça faisait une pause entre les excursions pas toujours reposantes. Le conducteur faisait des siestes régulières de son côté quand nécessaire. Notre seul regret a été de ne pas avoir pris de CD ! Nous avions loué une voiture (plus de détails en fin d'article) avec lecteur CD mais du coup, nous avons juste profité de la radio. Et il faut dire que pendant un moment, nous n'en avons pas profité du tout car elle ne captait rien. On le saura pour la prochaine fois^^

Lorsqu'on roule en Islande, les paysages se suivent mais ne se ressemblent pas. Ce qui fait que j'ai passé mon temps à regarder le paysage plutôt qu'à dormir !

De Reykjavik (la capitale) au Cercle d'or (Gulfoss, Thingvellir, Geysir), les paysages sont montagneux, ils côtoient les étendues, c'est vraiment un décor dépaysant.

A partir de Gulfoss, pour retourner vers la route 1 et partir vers Vik, les routes sont ennuyeuses, avec des paysages qui ressemblent à la France.



Lorsqu'on approche de Hekla, le volcan le plus actif d'Islande, qui entre en éruption en moyenne tous les 10 ans (la dernière fois, c'était il y a 12 ans, on était pas à l'abri d'une nouvelle éruption), on admire. Avec son sommet escarpé, comme déchiré, il est impressionnant. Et le paysage redevient époustouflant.

Mais le meilleur moment, c'était à partir de Seljalandfoss jusque Jokulsarlon. D'abord, des cascades à foison. Puis un paysage blanc, et de nombreux glaciers.

Vous l'aurez compris, faire beaucoup de route en Islande, c'est aussi une partie du voyage, et pas un moment ou on en profite pour dormir.

L'état des routes en Islande

En Islande, il y a une route principale, la route Numéro 1, qui est (normalement) accessible toute l'année. Elle fait le tour de l'île. D'ailleurs, il suffit de deux points bloqués sur cette route pour paralyser toute la circulation dans le pays. En général, cette route est agréable, souvent elle file en ligne droite et elle est bien entretenue.




Puis, il y a les routes DXXX ou juste avec un numéro à deux chiffres. Celles-là peuvent être... particulières. Genre, faites en gravier. Genre, tu stresses de crever un pneu en plein milieu :) J'avoue que ce n'était pas mes routes préférées, comme je l'ai dit, j'avais peur qu'on crève.


Enfin, il y a les pistes FXXX. Elles, on ne les as pas faites car tu dois avoir obligatoirement un 4X4 pour ça, tellement elles sont parfois difficiles à parcourir avec des gués. D'ailleurs, on a croisé des 4X4... d'une taille phénoménale ! Et dans la capitale, il y en avait beaucoup, garés devant les maisons.

Louer une voiture en Islande

Pour louer notre voiture, nous avons été sur le site Location-de-voiture qui permet de comparer les prix (valable pour tous les pays). Franchement, par rapport à d'autres sites, tu as moyen de trouver des prix bien plus avantageux !




Nous avons payé 240 euros pour 6 jours de location et environ deux pleins d'essence (un peu plus de 100 euros). Nous sommes passés par « Sad Cars ». Oui, tu as bien lu, sad cars, comme voitures tristes en traduction. Ben nous, ça nous a bien fait rire. D'ailleurs, quand on a vu l'état de la voiture, on a rigolé encore plus en se disant : bordel, si on claque la porte trop fort, elle tombe en morceaux ? Mais en fait, elle a super bien tenu le coup, ouf.

En tout cas, pendant ce séjour, la voiture a été un des endroits dans lequel on a passé beaucoup de temps. A la fois moyen de transport, de stockage, lit de secours... toute cette route, on la savoure. On ne l'envisage pas comme une nécessité pour aller d'un point à un autre mais comme une partie du voyage. Alors, en route ?
 
;